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C'était un enfant de quarant' cinq ans
Qui voyageait seul avec sa grand-mère.
C'était un enfant de quarant' cinq ans
Qui voyageait seul avec sa maman.
Sa grand' barbe noire aux longs poils frisants
F'sait l'admiration d'la famille entière.
Sa grand'barbe noire aux longs poils frisants,
F'sait l'admiration de tous ses parents.
Sur un bateau, il s'embarqua,
Croyant partir pour l'Kamtchatka
Mais au bout d'huit jours, quel drame !
Il s'écria "Mesdames :
Grand-maman, c'est new-York !
C'est New-York.
Je vois les bateaux-remorques,
Grand-maman, c'est New-York.
Je vois les bateaux dans le port de New-York.
Les mouettes font bonjour.
Dans le ciel je vois les jolies mouettes,
Les mouettes me font bonjour
Et je sens en moi de longs frissons d'amour.
Sa grand-mère le calma
Avec un bout de chocolat
Mais l'enfant, le cœur en fête,
Criait à tue-tête :
Grand-maman, c'est New-York,
C'est New-York : je vois les bateaux-remorques.
Grand-maman c'est New-York !
Je vois les bateaux dans le port de New-York.
Comme il était dans la diplomatie,
Il faisait parfois de charmants voyages.
Comme il était dans la diplomatie,
Il visitait tout, l'Europe et l'Asie.
Il vécut ainsi
Quatre-vingt-douze ans,
Toujours escorté de sa vieill' grand-mère.
Il vécut ainsi quatre-vingt-douze ans,
Toujour escorté de sa vieill' maman.
Le jour d'sa mort, elle était là
Qui lui donnait du chocolat,
Mais, perdu dans son délire
Il ne savait que dire :
Grand-maman, c'est New-York !
C'est New-York.
Je vois les bateaux-remorques,
Grand-maman, c'est New-York !
Je vois les bateaux dans le port de New-York.
Les mouettes me font bonjour.
Dans le ciel je vois les jolies mouettes,
Les mouettes me font bonjour
Et je sens en moi de longs frissons d'amour.
Quand au ciel, il arriva,
L'Empire State il retrouva.
Les anges lisaient le Daily News
En disant : Sacré bon Dious,
Mon p'tit gars c'est New-York,
C'est New-York, tu vois les bateaux remorques.
Mon p'tit gars c'est New-York !
Tu vois les bateaux dans le port de New-York,
Tu vois les bateaux dans le port de New-York.
On byl dítě pět let quarant To
Kdo jel sám se svou babičkou.
On byl dítě pět let quarant To
Kdo jel sám s matkou.
Jeho velký "černý vous s dlouhými vlasy frisants
F'sait obdiv celou rodinu.
Jeho dlouhé vlasy černé grand'barbe frisants,
F'sait obdiv všech svých příbuzných.
Na lodi se plavil,
Od víry v Kamčatce
Ale po osmi dnech, jaké drama!
Zvolal: "Dámy:
Babi, to je New York!
To je New York.
Vidím vlečné lodě,
Babi, to je New York.
Vidím lodě v přístavu v New Yorku.
Racci jsou ahoj.
Na obloze vidím hezké racků
Racků se mi ahoj
A já se cítím mrazení ve mně dlouho po lásce.
Jeho babička ho uklidnil
S kouskem čokolády
Ale dítě, jeho srdce na oslavu
Zvolal hlasitě:
Babi, to je New York,
To je New York: Vidím vlečné lodě.
Babička je New York!
Vidím lodě v přístavu v New Yorku.
Jak to bylo v diplomacii,
To bylo někdy okouzlující výlety.
Jak to bylo v diplomacii,
Navštívil všechny, Evropě a Asii.
Žil také
Osmdesát dva,
Vieill vždy doprovází jeho 'babička.
Žil a devadesát dva roky
Toujour Vieill doprovodil ji 'mámu.
Den její smrti ona byla tam
Které mu čokoládu,
Ale prohrál ve svém bludu
On mohl jen říci:
Babi, to je New York!
To je New York.
Vidím vlečné lodě,
Babi, to je New York!
Vidím lodě v přístavu v New Yorku.
Racků mě ahoj.
Na obloze vidím hezké racků
Racků se mi ahoj
A já se cítím mrazení ve mně dlouho po lásce.
Když obloha, to přišlo
Empire State našel.
Andělé byli ve čtení Daily News
Vzkazuje dobré Dious posvátný,
Můj malý chlapík je New York,
To je New York, uvidíte ukázky lodi.
Můj malý chlapík je New York!
Můžete vidět lodě v přístavu v New Yorku,
Můžete vidět lodě v přístavu v New Yorku.